les frippes de la plaine

Les frippes de la Plaine !!
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Publiée par Stop Décharges Sauvages – Déchargeons La Plaine sur Mercredi 21 février 2018

2 réflexions au sujet de « les frippes de la plaine »

  1. Très bonne initiative… Espérons que la plaine de Pierrelaye ne prenne pas la suite, on y constaté des pratiques similaires.
    Attention, dans « À propos de ce site » il faudrait corriger « un environnement naturel sein » par « sain »…

  2. Messieurs,
    Le hasard m’a conduit à visiter votre site. Je dois dire que je suis également inquiet à cause des stockages et enfouissements qui sont pratiqués en guise d’élimination de nos déchets. J’avais également écrit à différents ministères. Courriers un peu longs mais explicatifs sur quelques tenants et aboutissants de cette problématique. (La messagerie classique est mon seul moyen de communication. Or votre messagerie ne fonctionne pas et je n’ai donc pas pu vous adressé une copie de mes courriers). Dans l’attente je vous adresse une copie de mon deuxième courrier.
    Cordialement

    Bordeaux le 14 juillet 2017

    Monsieur Le Ministre,
    Des contestations populaires récentes contre l’extension programmée du centre de stockage de Bure dans la Meuse, m’incitent à nouveau à argumenter contre l’enfouissement pur et dur de toutes sortes de déchets, en d’innombrables points (au pire sauvages et ignorés, au mieux ciblés et circonscrits) de notre territoire national.

    Qu’il s’agisse de l’amiante ou des déchets radioactifs ou des déchets hospitaliers ou des simples ordures ménagères, ou autres, ces rejets doivent coute que coute trouver un exutoire à hauteur de leur dangerosité respective. Qu’ils le soient dans l’urgence ou non, les décideurs locaux ou nationaux sont systématiquement acculés à faire disparaître ces différents déchets, sans forcément conserver la maîtrise à moyen ou long terme des conséquences écologiques possibles et souvent prévisibles qui surviennent dans les centres de dépôt et d’enfouissement. (la pièce ci-jointe donne un aperçu des dérives administratives et écologiques)

    Nombre de retombées délétères sont pourtant connues comme par exemple le dégagement et la déposition de dioxine à cause d’incinérations sans filtrage ou captation des fumées, comme la pollution de nappes phréatiques à cause d’infiltrations toxiques ignorées, comme l’intoxication de la faune et de la flore sur de grands espaces, tantôt sur les lieux mêmes d’une activité polluante, tantôt par le biais des fleuves et des rivières… Tristes exemples aussi multiples que variés sur terre et en mer, de par la nature des produits polluants et de par les causalités spécifiques propres à chaque catastrophe écologique…
    Alors pourquoi ne pas accorder plus de place, par le biais d’investissements massifs, aux techniques et à l’industrie de vitrification qui rendent inertes les matières dangereuses. D’autant qu’à en croire les spécialistes du secteur, les investissements massifs nécessaires pour activer l’éradication ou le recyclage salutaire des déchets seraient presque dérisoires au regard des sommes consacrées aujourd’hui aux enfouissements.
    Plus globalement encore, la vitrification des déchets apparaît pouvoir s’imposer non seulement comme une solution à part entière pour faire disparaître 80 % des déchets, mais aussi comme source élaborée d’énergie électrique sans dégagement de dioxine ou de CO², et également comme phase préalable en vu de la qualité, de la sécurisation et de la potentialisation des enfouissements qui resteraient encore incontournables.
    Exemples et repères concrets :
    L’amiante est un des déchets qui fait partie des 80 % de déchets recyclables alors que les matériaux hautement radioactifs feraient partie, eux par exemple, des 20 % restants. In fine ces 20% restants nécessitent par conséquent un enfouissement alors même qu’un passage précautionneux en vitrification pourrait néanmoins réduire de 60 à 80 fois leur volume.
    L’exemple des 25 milliards d’euros prévus pour la seule extension du centre d’enfouissement de Bure comparés aux 100 ou 200 millions d’euros (maxi) pour construire une usine de vitrification à la hauteur des flux de ce centre de Bure, pointe également le manque d’ouverture dans lequel on continue à s’enferrer.
    Beaucoup reste donc à faire en vu de sortir de cette spirale infernale entre activités humaines obligés, déchets encombrants et nocifs, pollutions progressives et dévastatrices de notre planète. La vitrification, autant en petit qu’en grand, présente des atouts sinon incontestables pour le moins opportuns et d’avant-garde pour devoir s’imposer dans l’industrie d’aujourd’hui.
    Je vous prie, Monsieur Le Ministre, de vouloir bien agréer l’expression de toute ma considération.
    Acquisto Philippe

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